L'Audiophile Apiguide met à la disposition des mélomanes bricoleurs les résutats de ses recherches personnelles en matière de reproduction sonore très haute-fidélité... Des recherches dans le domaine audio qui sortent délibérément des sentiers battus, loin des itinéraires mercantiles, et qui sont accessibles à tous techniquement et financièrement...
Do it yourself
Le terme Do It Yourself, abrégé en DIY, signifie en français: "Faites-le vous-même", ou bien "bricolage" ou encore "système D" (Les Québécois disent plutôt: FALM, fait à la main).
Le DIY désigne d'une manière générale des loisirs manuels visant à recréer des objets ou appareils courants ou plus souvent techniques, cela à moindre coût, soit par récupération de chutes, de rebus et de "fonds de tiroir" soit par le choix de matériaux ou de composants trouvables à bon compte.
C'est une formule d'autant plus intéressante pour la Hi-Fi audiophile en période de crise économique et tout-à-fait adaptée aux mélomanes qui peuvent y trouver des heures de loisirs pas chers, à domicile, avec une énorme satisfaction musicale comme récompense finale...
C'est encore plus gratifiant si aucun appareil ou accessoire équivalent n'existe dans le commerce de la Hi-Fi, même en cherchant dans le très haut de gamme!
DIY
The term "Do It Yourself" means in french: "fait à la main", or "bricolage" or "System D" (Quebecers rather say: FALM). In common way, the DIY means to recreate objects or simple appliances or more often technical ones, more cheaply, by recovery of falls, and rebus fund drawer or by choosing of materials or components found cheaply.
This is a particularly interesting for the audiophile DIYer when economic crisis and quite suited to music lovers who can find hours of cheap entertainment at home, with a great musical satisfaction as final reward...
This is even more gratifying if no device or accessory is equivalent in the Hi-Fi trade, even seeking in the high-end esoteric audio!
The Audiophile Apiguide's blog is devoted to DIY and Hi-Fi tweaking.
Files updates for downloads: texts, pictures, how-to about CD/SACD/DVD player, audiophile computer, mosfet amplifier, power conditioners, special audio power filters, loudspeakers cables, modulation cables, various accessories for sound and room acoustic, upgrades for commercial components.
Do it yourself amazing tweaks and tips to enhance your Hi-Fi system... get off the beaten path, and enjoy!
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de technique. Il s'agit alors
de bricolages faciles à réaliser et à faible prix de revient. Des bidouilles pas chères vers toujours plus de musicalité, pour toute chaine Hi-Fi, de la plus modeste à la plus sophistiquée, et qui profiteront à tous les types de musique sans distinction.
01/12/2009
A.A. Disque noir vinyle, le retour? ou bien simple effet de mode?
L'analogique contre le numérique: un vieux (et faux) débat
On voit fleurir sur Internet et dans la presse écrite de nombreux articles qui relatent un retour en grâce du disque noir vinyle des sixties. Est-ce un mouvement de fond ou un simple effet de mode? En période de crise économique se développe souvent un goût pour le rétro qui idéalise des pseudos années d'or, des années mythiques où tout un chacun semblait plus heureux qu'aujourd'hui.
On ne compte plus sur les forums hi-fi ou musique les mélomanes qui disent préfèrer le son du vinyle à celui du CDaudio.
Petite pause musicale
Le CD donne moins de plaisir musical que le vinyle?VRAI ! (souvent)
Quand certains disent préférer le son de leurs bons vieux 33T vinyles aux versions CD de ces mêmes enregistrements, je le comprends et souvent ils ont raison. Surtout quand le report Vinyle/CD a été mal fait. Le CD n'arrive au niveau émotionnel du vinyle (lu sur des platines TD de qualité et fort chères à l'époque!) que sur des chaines hi-fi bien optimisées et avec d'excellents lecteurs CD-SACD comme le lecteur Phi Audiophile.
Le numérique donne moins de plaisir musical que l'analogique? FAUX!
Si les amateurs de vinyle affirment dans la foulée que le son parfois dur et sans émotion du CD est l'apanage du numérique, alors que l'analogique est plus doux, plus charnel, plus porteur d'émotion, alors ils ont tort. Ils rejettent la faute sur le mauvais cheval. Ils font un amalgame inapproprié en confondant le système de notation et le support. Il reste non moins vrai qu'une mauvaise prise de son sera aussi mauvaise enregistrée en analogique qu'en numérique, et de tels ratages sont fréquents à toutes les époques.
Ancien tubiste analogique
En tant que vieux mélomane ma discothèque de vinyles est bien sûr très fournie. Pendant 30 ans de 1960 aux années 90 j'ai eu le temps de peauffiner une chaine analogique de haut niveau musical:
Cellules:
Denon DL103
Shure V15 V
Micro-Acoustic
Grado
Ortofon
Cela m'a permis aussi d'amasser quelques trésors en disques vinyles 33T1/3. Tubiste à mes débuts (traduction: adepte des amplis à lampes), j'ai mis bien du temps à me décider à passer aux amplis à transistors, que j'ai longtemps jugés froids et aseptisés (tiens, un peu comme le CD, déjà!). Les transistors MOSFET (cliquez) en classe AB ont finalement levé mes doutes. Mélomane exigeant, pendant longtemps je me suis refusé à acheter un lecteur CD. Aucun modèle ne me semblait satisfaisant et cela sans considération de prix. J'ai cependant été obligé d'acheter des CDaudio, sans encore posséder un lecteur, car très vite on ne grava plus de vinyle systématiquement en sortant la version CD. Pas question de ne pas posséder certaines interprétations parues uniquement en CD, quitte à devoir attendre encore quelque temps l'amélioration des lecteurs CD de salon. J'ai ainsi attendu la 3è génération de lecteurs CD pour me décider. J'avais un bon stock de CD en attente d'une première audition. Mon premier lecteur CD, très coûteux (Mission PCM7000 - du haut de gamme en 1988/1989 ), même bidouillé, optimisé, était encore loin d'égaler ma chaine vinyle.
Je vais donc me faire l'avocat du diable, sans qu'on puisse me taxer de partialité quand j'affirme que le son numérique est hors de cause dans la perte musicale constatée sur le CD et même sur le SACD.
Une année charnière, 1981
Deux petits tableaux pour comprendre, sachant que les années 1980/1981 sont une charnière entre les deux univers, analogique et numérique. Le numérique est en effet entré dans le milieu professionnel de l'édition phonographique un peu avant d'émerger dans le grand public. Cette antériorité est au coeur de ma démonstration, car révélatrice.
Le cadre du milieu du tableau 1 ci-dessus, correspond au début des années 80. Regardez donc les pochettes de certains de vos disques vinyles de l'époque. Sur la tranche des disques Decca vous lirez en haut une mention "NUMERIQUE" sur fond bleu et rouge, une mention "DIGITAL" chez EMI, et vous retrouverez une mention analogue au dos des pochettes jaunes de la Deutsche Gramophon. Les éditeurs étaient alors fiers d'annoncer une prise de son avec un enregistrement numérique. Coûteuse technologie de pointe alors réservée aux seuls grands studios. C'était un plus considérable en qualité sonore à leurs oreilles, et pourtant ce n'était que du numérique "balbutiant", du PCM 16 bits en 44.1kHz ou 48kHz, bien frustre au regard du DSD actuel
( 44.1kHz × 64 = 2,8224 MHz) quantifié sur 1 bit qui autorise une bande passante allant jusqu'à 100 kHz et une dynamique de 120 dB (*).
Anecdote: Sony sortit alors le format d'enregistrement numérique linéaire DASH (Digital Audio Stationary Head) qui permettait un montage simple de la bande master avec une paire de ciseaux comme avant en analogique. Avant le DASH de Sony les magnétophones numériques utilisaient des têtes rotatives qui inscrivaient des pistes en biais comme sur les magnétoscopes VHS, donc non coupables pour un montage. Les enregistrements en 24 pistes apparurent, ce qui hélas n'allait pas faciliter les choses pour obtenir à la reproduction sur une chaine Hi-Fi stéréo une image sonore réaliste et que dire du prémastering CD qui compressa artificiellement les niveaux vers le haut (rock, pop etc). Mais ceci est un autre débat.
Le compact disc audio et le transfert de tâche au particulier
Le disques vinyles analogiques des "majors" aux début des années 80 étaient donc, pour certains, pressés à partir de sources numériques. La conversion numérique vers analogique se faisait donc en studio, juste avant création de la matrice de pressage du disque noir. On est alors dans un cadre "pro" avec du matériel de haute qualité et on travaille depuis la bande mère. En musique classique, tout au moins, on soigne la qualité!
Dans le cadre du bas du même tableau1 apparait en 1984-85 le compact disc audio. On voit que la conversion du numérique à l'analogique se fait alors bien plus tard, non plus en studio mais chez le particulier, non plus à partir de la bande mère mais à partir du CD acheté dans le commerce. Dès lors, la chaine de traitement subit les avatars d'un support intermédiaire nouveau avec ses imperfections, ses limites, et d'une conversion numérique analogique plus tardive, dans une qualité grand public nécessairement moins onéreuse, mais moins performante...
Ce qui était musicalement bon avant l'est beaucoup moins après! Je ne parle pas ici des avantages pratiques flagrants du CD, mais seulement de la qualité musicale. On voit bien qui est le coupable probable.
Petite pause musicale
Le grand fautif? C'est le CD ! et ce n'est pas le numérique!
La preuve par neuf peut en être faite à contrario car il est possible de "squeezer", de court-circuiter l'étape CD/laser ou l'étape SACD/laser (Tableau 2): < Tableau 2
Le couple CD/laser est l'élément le plus pénalisant de la nouvelle chaine de production numérique depuis 1985. Je parle bien sûr en tant que mélomane exigeant sur la qualité musicale, le CD restant un excellent support pour le grand public. Si le CD est mis en cause, tout comme le SACD, par contre le phonogramme qu'il contient sous la forme d'un code numérique reste d'une très grande qualité. Vous pouvez donc en toute quiétude continuer à acheter vos CDs et SACD hybrides dans le commerce ou sur Internet. C'est toujours et pour encore pas mal de temps la meilleure source musicale possible. La qualité de la musique proposée au téléchargement est en effet déplorable tant en qualité (compressée) qu'en choix et en prix.
La fabrication des CD
Vidéo en français de la très bonne émission "COMMENT C'EST FAIT"
Numérique, l'histoire du compact disc audio
Plus des ressources documentaires sur l'audio, le multicanal, en français et en anglais >cliquez ici
Ne pas jeter le bébé avec l'eau du bain
De 20Hz à 20 kHz, le CD (ou la piste CD du SACD hybride) contient tout ce que peut percevoir l'oreille humaine, et je dis bien tout ce qui est nécessaire et suffisant! Cela pour une reproduction stéréo capable de rivaliser haut la main avec le meilleur système multicanal, question musicalité et réalisme.
Les traitements numériques que le phonogramme a subi avant pressage du CD (requantification, dithering...) ont ceci de particulier qu'ils sont subjectivement "réversibles" ou "gommables" sur les enregistrements bien réalisés et peu trafiqués (mais les raisons commerciales l'emportent parfois sur le musical).
C'est une des bizarreries de la psychoacoustique vis à vis du numérique. On peut par un traitement numérique spécial, quasi remonter à la qualité sonore originelle, celle de la bande mère (ou du fichier père) en 24 bits, en one-bit ou en DSD. C'est ce que fait le traitement du SARD (tableau 2) avec une quantification en 32 bits suivi d'une réduction en 16 bits avec un dithering spécial.
Pourquoi rester seulement en 16 bits? Parce qu'il n'y a aucun intérêt musical pour le particulier mélomane à aller au delà du 16 bits 44.1kHz s'il s'est au préalable affranchi de tout support pénalisant. Monter au delà de 16 bits 44.1 kHz n'est utile que pour le mixage numérique, le montage, le travail de mastering en studio. Le suréchantillonnage plus tard du SARD en 176.4 kHz obéit à un autre critère, celui d'un meilleur filtrage des résidus de la conversion N/A (CNA).
Un cheval borgne contre un aveugle!
Supprimer le support CD et le laser est selon moi une excellente opération au plan musical, Encore ne faut-il pas remplacer ce support de stockage bancal par un support boiteux à peine moins mauvais que serait le disque dur conventionnel. Je sais bien que la mode est aux média-centers et aux disques durs multimédia. Pour le son c'est à peine mieux que le CD audio lu par un lecteur de salon correct, et parfois c'est bien pire.
Mais alors sur quoi stocker le fichier numérique musical? L'astuce est de le stocker sur le disque dur, mais dans des conditons optimales (formatage exFAT 512ko), pérennes, fiables, mais de ne surtout pas l'y lire à cet endroit. On l'y conserve et on n'y touche plus.
Pour lire un livre vous le sortez de la bibliothèque! Non?
Pour lire ce fichier audio rénové par le SARD, nul besoin de le déplacer, il n'est pas nécessaire de le sortir de la bibliothèque. On va simplement le glisser/copier sur un support de stockage volatile mille fois plus rapide qu'un disque dur classique et exempt de tout mouvement mécanique. Ce support magique est de la mémoire pure, DDR2 ultra rapide 600 ou 800 MHz, c'est la RAM d'un PC que l'on aura mise en forme pour qu'elle soit un disque dur virtuel, quasi dématérialisé. Tout ceci est très facile à mettre en oeuvre grâce à des scripts prêts à l'emploi (voir CDRom)
Des conditions idéales
Les fichiers audio wav PCM sont très sensibles à la façon dont ils sont lus, en continu, avec une bonne cadence ultra précise et régulière. Le bon accès aux données compte énormément et le type de stockage est à cet égard primordial. Leur lecture en Ramdisk, par un excellent player audio (AIMP2 V.250 312) lui aussi placé juste à côté correspond à une configuration proche de l'idéale en vitesse et en proximité. Si le chef d'orchestre qui bat la mesure lors de la conversion N/A est un quartz "pro" de haute précision, alors rien d'étonnant à ce que le résultat musical soit exceptionnel.
Tout cela s'entend, se ressent comme une évidence par tout mélomane, sans besoin d'être un audiophile épris de technique, sans avoir l'oreille absolue ni des oreilles de vingt ans (j'ai plus de trois fois cet âge), sans même la moindre culture musicale!
Plus de plaisir pour zéro euro
La vie est trop courte pour rater une occasion de se faire encore plus plaisir. Le SARD++ est l'une de ces occasions au plan musical. Le mettre en oeuvre est assez facile, c'est gratuit ou à très bas prix de revient et en plus il redonne une nouvelle jeunesse à toute votre CDthèque que vous redécouvrirez avec étonnement et ravissement.
Voila une idée de Noël pour les mélomanes bricoleurs DIY ! Offrez le SARD++ à votre chaine Hi-Fi et à vos oreilles! (**) Numérique ou analogique? Match SARD++ contre analogique à son plus haut niveau, cliquez ici
(*) Dynamique de 120 dB qui ne sert à rien dans un contexte domestique et qui en outre n'a rien à voir avec la "dynamique fine", celle que l'oreille apprécie, et qui est gage de vie, de pêche, d'émotion et de musicalité. Quant aux 100 kHz, cela concerne les chauve-souris ou les dauphins, pas les êtres humains.
(**) Je rappelle à nouveau que je ne vends rien et que je ne fabrique pas pour autrui, il est donc inutile de me poser la question! only DIY and enjoy! et... Joyeux Noël à tous les mélomanes!
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SARD = Super Audio Ram Disk (par analogie avec
le Super Audio Compact Disque)
Un RAM-disque est un disque virtuel qui utilise une partie de la mémoire
centrale de l'ordinateur, la mémoire vive, en tant que mémoire
de masse, une fonction habituellement effectuée par les disques
durs. Les temps d'accès sont grandement améliorés,
car la mémoire vive a un temps d'accès approximativement
1000 fois plus court que les disques durs. Ils sont cependant limités
par la taille de la mémoire centrale. Pour chaque session musicale,
le fichiers audio y sont placés pour y être lus. [suite...]
What's SARD ?
Super Audio Ram Disk is an audiophile Hi-Fi treatment that can be done
on any simple 16 bits, 44.1 kHz, wav file ripped from any good Compact
Disc Audio or hybrid SACD... [more...]
Le SARD en bref:
1) Ripp CDaudio => Disque dur 16b/44.1kHz
2) Conversion 32bits/44.1kHz
3) Réduction en 16b/44.1kHz avec ajout de dither triangulaire
0.7 bit
4) Montage du fichier audio obtenu en Ramdisk NTFS formaté en 64 Ko
5) Lecture par player 32bits , rééchantillonnage
176.4kHz
NB. Ces opérations sont automatisables en traitement par lot (
batch processing )
L'ultime qualité audio SARD+ et SARD++
Même configuration que ci-dessus pour le SARD, mais avec un Ramdisk monté en exFAT (FAT64) et formaté en clusters de 512 Ko (script fourni)
Coups de coeur
Quelques
disques remarquables
choisis par l'Audiophile Apiguide:
La compile CD SACD!
versions
Portable Zip
1.0.0.100
ou installable 1.0.0.113
( en Ram Disk)
version
basic 2.3.10
Dernières
versions testées
non retenues
2.60
build 525
---
basic 2.3.9.5
Le classement sur le podium reflète la musicalité constatée à l'écoute au casque et sur enceintes acoustiques du seul format wav/SARD 16 bits 44.1 kHz, à l'exclusion de tout format audio compressé (mp3, wma, flac, ogg). Les fonctions annexes non musicales telles que tags, .cue sheet, streaming, ripping, égaliseur, skin, effets optiques etc. ne sont pas prises en compte pour ce classement audiophile bien sûr 100% subjectif.
Le classement sur le podium reflète la musicalité constatée à l'écoute au casque et sur enceintes acoustiques. Les fonctions non musicales telles que vitesse, tags, conversion de format, égalisation de niveau, etc. ne sont pas prises en compte pour ce classement audiophile. (*) Easy CDDA extractor est un logiciel payant et la version qui aurait pu figurer en médaille de bronze - sur des critères musicaux - n'est pas disponible sur le site de l'éditeur. La mention "aucun" exclue donc du podium les rippeurs associés à des logiciels de gravure ou des éditeurs audio payants et exclue aussi des freewares qui mettent pourtant en avant leur exactitude d'extraction. [suite...]
Kulturica Site dédié à la culture classique : musique classique, littératures du monde, beaux-arts, mathématiques - arithmétique et géométrie - telles que les concevaient les Anciens, mythologie grecque. Audiophile
mélomane recense
des CDs de musique classique
qui se distinguent par une
interprétation et une prise
de son de très grande qualité
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2008 last invention: "RAMTEK5" (after
the "RAMTEK4 BMSQ") is more than
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beam, no hardisk
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with ASIO driver
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(BMSQ ? Bentonite, Sea Salt, Mortar of fibered
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