On connait bien les trompe-l'oeil,
mais
beaucoup moins les trompe-oreille!
Certaines formes impossibles
et illusions d'optique
(cliquez ici) sont
célèbres comme l'escalier
d'Escher ou l'ombre sur
l'échiquier de
Adelson
:
<
A et B ont exactement le même gris !
Vous n'y croyez pas ?
En voici la preuve:
Lightness Illusion
En fait c'est le
cerveau qui interprète
tout ça à sa
façon.
Mais l'oeil
n'est pas le seul
sens à pouvoir être
trompé, l'oreille
aussi!
Les illusions de Shepard font
croire à vos oreilles
que le début et la fin
d’un morceau sonore sont
différents alors qu’en
fait le son est exactement
le même au début et à la
fin. Quand on écoute
la séquence en boucle,
on a l’impression
que le début du clip
recommence là où il
s’était arrêté et
que c'est un mouvement perpétuel
ascendant:
Ecoutez un autre exemple de glissando, celui-ci en descente infinie, de Shepard-Risset
Ecoutez
la voix de la vierge!
La quintina, est une technique
propre, entre autres, au chant
traditionnel Sarde et Corse,
c'est
le chant diphonique. 4
hommes chantent, et on entend,
au dessus, une cinquième
voix...
Cette
5è voix,
on l'appelle à Castelsardo
en Sardaigne "la voix
de la vierge" qui répond
aux chanteurs en cette semaine
Sainte... en fait cette 5è voix
est obtenue par la fusion des
harmoniques.
Le son qui n'existe plus
Un
autre phénomène
d’illusion auditive
est la reconstitution a
posteriori de la
fréquence
fondamentale. Par l’artifice
des
logiciels de traitement
acoustique, il est facile
de faire entendre à un
sujet un son fondamental
en l'exposant à la
série calculéee
de ses seuls harmoniques.
Le son fondamental n'existe
plus dans le son émis.
L’oreille
(le cerveau) perçoit
pourtant un son fantôme,
absent du signal physique,
mais que la physiologie
auditive, soumise aux lois
des complétions
des formes, a créé virtuellement.
(cf. Précis
de l’audition
considérée
sous l’angle de ses
singularités) .
On sait, depuis longtemps, que l'oreille peut nous faire entendre des sons inexistants:
par exemple si on joue sur l'orgue les harmoniques d'une note à laquelle
on ne touche pas, celle-ci est "entendue" par notre esprit. Dans ce cas, la
vibration entendue n'existe physiquement nulle part. La perception des illusions
acoustiques est d'autre part teintée par la personnalité même
de l'auditeur...
>
voir psychosonique:
Timbre et hauteur.
Le son numérique d'origine
Cette
capacité du
cerveau à reconstituer
ce qui n'est plus peut être
mise à profit dans
la chaine du traitement
numérique du son.
Le bruit de
quantification du numérique
est perçu négativement
par le cerveau car c'est
un son qui n'existe pas
dans la nature. Le dithering
permet d'y remédier
en partie. Cela consiste à rajouter
un bruit de "dispersion" lorsqu'on
abaisse la quantification
d'un signal: par exemple
en mastering du
CD audio de 24 bits vers
le 16bits final. L'opération
est appréciée
par l'oreille car elle
est moins rude qu'une
brutale troncature. Le
cerveau n'aime pas beaucoup
ce qu'il ne connait pas
et tente souvent de faire
l'amalgame avec ses propres
références.
Le SARD et le
son du "master"
Dans
le cas du SARD, mon format "maison",
le traitement s'applique
de 32 bits à 16
bits.
Ici,
le dithering va
donner le sentiment de
faire surgir comme par
miracle une foule d'informations
sonores de la bande-son...
comme si on était
remonté plus haut
dans les étapes
du mastering d'un CD audio,
plus près du moment
de la prise de son elle-même,
comme si on avait ôté de
fins voiles qui s'interposaient
entre vous et les musiciens.
Avec
le SARD, un bon algorithme et
un bloc conditionneur
de terre BMSQ
le cerveau dispose alors
de quoi reconstruire lui-même
certaines informations
musicales qui étaient
en fait bien présentes
en amont dans le master
de studio en 24 bits mais
"perdues" sur
le CD final pressé.
L'oreille entend parfaitement
la différence,
elle perçoit sans
ambiguité l'amélioration
musicale et un surcroit
d'informations, alors
que le fichier traité apparait
pourtant identique à celui
non traité face
aux indicateurs classiques
( poids en octets, fréquences,
niveaux, distorsions...)
Un triple bénéfice!
En outre,
bonne surprise,
c'est une opération
qui est facile à faire,
qui est automatisable, qui
remet les fichiers audio à leur
poids normal en octets 16/44.1
sur le disque dur. Du coup
un simple Ramdisk de 800Mo
suffit à charger tout
un CD. C'est tout bénéfice,
à la fois en musicalité,
en espace de stockage et
en espace virtuel de lecture!
L'audiophilisation
du CD audio retombe alors à 0,12€ .
Détails sur la mise
à jour à télécharger.
A lire : Le dither expliqué
et mesuré - An
explanation and proof of
the benefit of dither for
the audio engineer
10/06/2008
A.A.
Les
meilleurs formats audio
mis sur écoute ! PCM/CDA
- DSD/SACD - wav/SARD* |
Le Compact Disc Audio et le Super Audio CD représentent depuis des années les deux meilleurs formats musicaux destinés au grand public. Cette place en haut du podium de la qualité musicale est-elle toujours justifiée? Les choses peuvent changer, la technique évoluer...
Avec le Super Audio Ram Disc
(SARD) par exemple...
Rien
ne vaut une écoute pour
se faire une opinion.
Pour faire ce test comparatif, j'ai choisi des disques CD audio et SACD en parfait état. J'ai utilisé ensuite la propre source audio de ces mêmes disques pour fabriquer le SARD qui leur est opposé.
J'ai donc procédé à l'extraction numérique du code PCM 16bits 44.1kHz que j'ai requantifié en 32 bits 44.1kHz. J'ai chargé les fichiers audio en Ramdisk. La lecture est faite avec un player configuré en 32 bits. Le signal sort du PC en pilote ASIO avec un rééchantillonnage par la carte son à 176.4kHz. C'est l'ensemble de cette procédure qui constitue le "SARD".
La confrontation se présente donc ainsi:
- CD audio d'origine confronté à sa propre source PCM remise au standard SARD
- SACD stéréo d'origine confronté à la couche hybride PCM (et non pas DSD dont le format est protégé) remise au standard SARD
- Le matériel de lecture en stéréo des CD audio et SACD est le lecteur de salon Phi Audiophile.
- Le matériel de lecture en stéréo des fichiers "SARD" est le PC audiophile Ramtek4 BMSQ, placé dans une pièce éloignée de la salle d'écoute et relié à la chaine Hi-Fi par 8.5m de câbles de modulation.
Les conditions de la confrontation:
- La chaine Hi-Fi, hormis lecteur, est identique dans les 2 cas, avec euphonisation
de la salle d'écoute par
Diva
(cliquez),
Toltek (cliquez) et
divers filtres anti PNI pour le courant secteur et la terre.
- Les potentiomètres de volume du préampli sont laissés au même niveau quelle
que soit la source commutée en entrée (niveaux rééquilibrés).
- La même plage musicale est lancée en même temps sur les deux supports. Un simple bouton permet de choisir instantanément la source lue. Les SACD sont lus en piste SACD stéréo et non en multicanal. Le SACD est donc confronté à sa propre version CDA convertie en SARD.
- Les séances d'écoutes se sont réparties sur plusieurs jours pour éviter tout avis "précipité".
- Différents morceaux, en classique, ont été utilisés: musique instrumentale, vocale, à grands ou petits effectifs, orchestre symphonique, musique de chambre, récitals ou solo... plus de 100 enregistrements ont ainsi été sélectionnés pour la qualité de leur interprétation et de leur prise de son.
Les résultats de la confrontation:
- Le SARD remporte la victoire, à chaque fois et sans le moindre doute.
Une victoire qui pose des questions!
Cette victoire est si flagrante que cela
interpelle sur de nombreux points:
- Non seulement le Ramtek4 et le format SARD l'emportent chaque fois haut la main, mais en outre, plus le message musical est complexe et plus l'écart se fait en faveur du SARD.
- Le résultat en faveur du SARD est d'autant plus surprenant que dans ce test comparatif il est handicapé par 8.5 m de câbles de modulation bidouillés DIY et par un transfo d'isolation galvanique alors que CD audio et SACD sont reliés au préampli par des cordons de 70cm d'une qualité exceptionnelle et bien sûr sans transfo. Qu'est ce ce serait alors si le Ramtek4 BMSQ bénéficiait d'une telle proximité et en direct avec ces cordons!
- Il est aussi étonnant qu'il n'y ait pas un seul domaine "préservé", qui resterait en faveur du disque CD ou du disque SACD.
Le gain de musicalité du SARD se ressent en effet sur tous les plans:
timbres des instruments, tessiture des voix humaines, rythmes, aération, lisibilité mélodique, inflexions, legato, dynamique fine, matérialisation 3D, étagement des plans en profondeur, en largeur, incarnation des voix, acoustique de salle, émotion, micro informations, tutti orchestraux, distorsion subjective, crédibilité générale...
Quelles conclusions peut-on en retirer?
- Déjà un fait s'impose. Le vieux format PCM qui remonte à plus de 20 ans contient en fait avec son "pauvre" 16bits 44.1 kHz toutes les informations musicales nécessaires et suffisantes pour satisfaire même le plus exigeant des audiophiles mélomanes pourtant adepte de l'analogique et du concert en direct.
- Deuxième constat. Puisqu'il suffit de parvenir à restituer ces informations
musicales latentes dans le PCM, alors qu'est-ce qui l'en empêche? Et bien, je
suis persuadé que ce qui pénalise en réalité le format audio PCM n'est
ni sa "petite" quantification 16 bits ni son "faible" échantillonnage
44.1kHz, son vrai boulet c'est le disque de 12cm en polycarbonate du compact
disc avec ses pits, ses lands et sa lecture laser.
Je retire enfin de ces points certains corollaires
- Si toute la musique humainement perceptible est déjà contenue dans le format
PCM, alors il est évident que le DSD/SACD n'apportera rien de plus musicalement,
sauf le gadget multicanal (convenant mieux au home cinéma) et l'anticopie pour
l'éditeur.
- Il est certain aussi que le SACD, tout comme le PCM, est pénalisé à son tour
par le disque polycarbonate du DVD et la lecture laser. Pénalisation peut-être
un peu moindre du fait désormais d'une meilleur maitrise du jitter par une tolérance
industrielle plus serrée et par le suivi de piste amélioré.
- Il est déjà difficile de réussir une belle prise de son stéréo. Réussir la
version stéréo d'une prise de son prévue pour "tambouiller" du 5.0 relève de
l'exploit voire de la gageure... au point à mon grand étonnement que la piste
PCM stéréo du SACD hybride s'avère à l'écoute très souvent bien meilleure que
la piste SACD stéréo.
Revenons donc au principal.
- Ce qui compte en premier chef, c'est d'abord des musiciens talentueux et ensuite
de bonnes prises de son destinées à la seule stéréo, faites par des ingénieurs
ayant eux aussi un certain sens artistique.
Il existe heureusement plein de ces ingénieurs du son, souvent anonymes, qui
font leur boulot honnêtement, avec humilité. A ceux-là je rends hommage. Il
en existe hélas d'autres, plus "m'as-tu vu", qui affichent une autosatisfaction
que j'estime inconvenante à l'écoute de leurs CDs.
- Pour ce qui est ensuite de la phase technique qui succède à la prise de son:
montage, mixage, mastering etc. oui, là, le travail numérique en studio
peut (et doit) alors grimper en nombre de bits et en suréchantillonnage autant
qu'on veut afin ne pas dégrader le son... tout ceci pour ne ressortir au final
qu'un format PCM 16 bits 44.1 kHz sur un CD audio. Ensuite, moi, mélomane consommateur
de belle musique et dinosaure audiophile, j'achète ledit CD et je me charge d'en
retirer un SARD réservé à mon usage personnel!
Alors, sans hésitation, Vive le PCM ! et encore longue
vie au CD audio !
01/06/2008
A.A.
Un
nouveau format musical en
Hi-Fi,
après le CD audio,
le DVD audio, le SACD, voici
le SARD |
Le mois dernier j'annonçai
sur le blog audiophile que
j'avais encore encore des pistes
prometteuses à explorer:
la lecture audio en 32 bits
et un tableau de filtrage secteur
d'un nouveau type. Aujourd'hui
ces pistes sont devenues des
réalisations opérationnelles.
Le nouveau né a pour
nom
Ramtek
4 BMSQ .
Son "audiophilisation" (le
mot rappelle un peu le café en
granulés)
doit beaucoup au tout nouveau
système
de filtres (comme le café :-)
du tableau secteur, "TSPC".
Si le matériel principal
reste le même que pour
le
Ramtek
III, à savoir
un PC doté d'un
processeur double coeur avec 2 Go de RAM et une carte son externe usb2 E-MU
0202, par contre tout le reste est nouveau: le ramdisk,
le principe, la procédure, le rippeur, le player... sans oublier le
conditionneur de terre.
Un
grand merci international
Le Ramtek 4 BMSQ illustre
une fois de plus le vieil adage:
"il a réussi parce
qu'il ne savait pas que c'était
impossible".
En fait mes idées n'ont
pu se concrétiser qu'avec
des apports récupérés
un peu partout: USA,
Allemagne, Corée du Sud,
Suède, Finlande, Russie,
Australie et avec d'heureuses
suggestions de confrères
audiophiles!
Facile
et rapide!
Le
système de PC Audiophile
Ramtek 4 BMSQ est
assez simple et très facile à
mettre en oeuvre une fois que
tout est installé:
1°) Rippage du
CD audio avec Easy CD-DA
Extractor ou avec le convertisseur-audio-grabber
interne de AIMP2 au format
wav 16bits 44.1khz sur le disque dur ( NTFS recommandé) interne
ou externe,
2°) Conversion avec Switch Sound File Converter des
fichiers rippés sur le disque dur en wav
32bits 44.1khz
(cette opération double le poids du fichier en octets)
3°) Installation d'un Ramdisk en NTFS avec ImDisk (et reformatage
rapide en clusters 64 ko). Copie dans ce disque virtuel des fichiers
wav 32bits 44.1khz que l'on veut écouter
par un simple glisser/déposer.
4°) Lecture audio soit avec Spider Player soit avec
AIMP2 configuré en
32 bits, connecté en pilote ASIO E-MU à la carte
son externe USB2
E-MU 0202 éventuellement
modifiée au niveau des condensateurs (facultatif)*
, alimentée en 5V régulé séparément
du PC (facultatif)*,
carte son configurée avec
rééchantillonnage
176.4 khz dans le PC
5°) Raccordement à la chaine
Hi-Fi par l'entrée Auxiliaire ou Tuner de la chaine
HiFi de salon, par un câble de modulation de qualité ou
de type "
hypercable" (facultatif)* euphonisé aux
sorties lignes stéréo de l'E-MU 0202 par
l'intermédiaire d'un transfo d'isolation galvanique 1/1
Lundhal (facultatif)* .
6°) Raccordement au
courant secteur. PC, écran,
imprimante, carte son etc. sont branchés sur un
tableau
secteur TSPC (facultatif)*
euphonisé pour cet usage audiophile
par des filtres spéciaux et un
conditionneur de terre (pavé BMSQ**).
Voila... c'est tout!
Tests d'écoute
Je
donne dans mes fichiers 3
axes d'écoute pour faire les réglages fins
du système. Mais attachez-vous donc à celui-ci, très simple:
le bon réglage est celui
où la musique semble
rebondir, avec de la vie, de l'envie de jouer de la part des artistes... à
l'écoute, ce n'est plus ennuyeux passé quelques secondes,
c'est enthousiasmant jusqu'au bout! A contrario l'écoute du CD d'origine
direct dans le lecteur du PC ou lu avec votre lecteur CD de salon doit
paraitre fade et terne par rapport à sa
version lue en 32bits en Ramdisk.
Vous voulez un exemple ? Ecoutez les 90
premières secondes de la sonate de Beethoven, Cello Sonata
Op.69 in A Major - plage I. Allegro ma non tanto - par
Jos van Immersell au piano forte et Anner Bylsma au violoncelle - un régal!
(2 CD Sony Vivarte de 1998 ref. S2K 60761)
Autre exemple, de vie, d'allant, d'émotion qui doit éclater à l'écoute:
Le Musiche di Bellerofonte Castaldi. Ecoutez Guillemette Laurens (Mezzo Soprano),
la plage 9
- Air "Chi vedde
più lieto e felice di me" |
|
L'équipement minimum
requis:
1 PC récent pas cher, portable, barebone ou de bureau, sous Vista familial
32bits (ou sous XP), avec 2Go de RAM ou plus, 1 carte son externe E-MU 0202,
quelques logiciels gratuits, 1 logiciel payant (facultatif) , une paire de bons
câbles de modulation (câbles DIY possibles), 1 transfo d'isolation
galvanique et quelques autres petites bricoles en connectique, jacks ...
En option pour une écoute en solo diurne, nocturne ou en milieu bruyant, à prix éco:
des écouteurs
intra-auriculaires Philips SHE9700 et un casque antibruit Gerin
285
(*) le terme facultatif signifie que ça marche quand même
( cela reste même très bon mais ce n'est plus "audiophile" au
sens où personnellement
je l'entends. Comme
disait Oscar Wilde "J'ai des goûts simples, je me contente du meilleur")
(**) BMSQ =
Bentonite,
Mortier de ciment microfibré,
Sel,
Quartz
Une triple réussite: au plan musical, au plan pratique et au plan économique!
Le Ramtek4 BMSQ permet de se dispenser d'un
lecteur CD-SACD de salon Hi-Fi haut de gamme.
Le gain de musicalité s'obtient par des voies inaccessibles aux meilleurs
lecteurs CD-SACD.
On reconstitue cette qualité musicale hors du commun en stéréo à partir
des simples CD audio d'origine.
On revalorise et on redécouvre toute sa CDthèque. On fait toutes
les compilations que l'on veut.
Le PC placé dans une autre pièce évite toute nuisance
sonore dans la pièce d'écoute, tout en conservant toutes ses
fonctionnalités.
Un nouveau
format de qualité audiophile pour la musique
enregistrée:
le Super Audio Ram Disk (SARD) en 32bits 176,4 kHz
Le Super Audio CD (SACD) a été lancé officiellement par Philips et Sony en
septembre 1999, un format d'une qualité musicale supérieure au PCM du CD
audio que les deux mêmes firmes avaient lancé en 1980. En juin 2008 l'audiophile
apiguide propose un format de lecture qui permet d'extraire toutes les qualités
latentes du PCM: le Super Audio Ram Disk (SARD)... et le procédé révèle une
qualité musicale
inattendue du bon vieux CD audio.
L'audiophilisation du CD audio à 0,24€
Petit calcul du surcoût musical: Un disque dur externe USB2
de 500Go, par exemple Western Digital en 3.5", coûte
en 2008 moins de 90€... ou 180€ en 1To.
Un disque externe 500Go permet en théorie de stocker environ
380 CD rippés et requantifiés en 32 bits 44.1kHz. Cela
représente
un prix de revient par CD de 0.24€ par CD "audiophilisé".
Le fichier est ensuite lisible en Ramdisk avec un rendu musical supérieur à celui
d'un SACD stéréo lu par laser même sur le meilleur
lecteur de salon du monde... Un CD audio en musique classique
coûte, neuf, en moyenne 17€. Passer à 17,24 € pour
le transfigurer en super-SACD, pardon en SARD,
Super Audio Ram Disk, à mon
avis c'est un surcoût dérisoire! Tout audiophile mélomane
acceptera sans hésiter une telle dépense supplémentaire
pour ses nouveaux achats de CD audio, sans oublier qu'il pourra aussi
redécouvrir
toute sa CDthèque personnelle accumulée amoureusement depuis
des années! |
Toutes
les explications détaillées,
scripts, formule de composition
du pavé en bentonite, photos
et schémas
sont regroupés
en 3 fichiers:
fichier
70 - hypercables.htm
fichier
71 - audiophile-tspc.htm
fichier
72 - audiophile-Ramtek4.htm |
sur
CDrom personnalisé ou à télécharger
en MAJ autoextractibles...