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 Archives des billets de l'Audiophile AA anciennement publiés sur l'annuaire apiguide.net, aujourd'hui disparu. (de ce fait les liens externes sont donc en grande partie non actifs) |
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Les archives de l'Audiophile AA
GLOSSAIRE HI-FI
Vocabulaire hi-fi audio
Le sens des mots dans les tests d'écoute critique en stéréo
Petit guide des principaux mots-clés de l'audiophile apiguide
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Notation des critères
Les aspects du rendu sonore auxquels j'attache le plus d'importance sur ma chaine Hi-Fi, sont signalés par des diapasons:
 les plus difficiles à réussir pleinement, mais aussi les plus indispensables... à ne surtout pas rater, quitte à y passer du temps.
 un peu plus faciles à maîtriser.
 faciles, mais à ne pas négliger pour autant.
Enfin ce n'est pas parce qu'un critère n'a aucun diapason qu'il serait pour autant insignifiant, tout s'entend sur un bon système. C'est seulement quand aucun point n'est faible que l'on peut espérer profiter d'un grand système, d'une musicalité exceptionnelle.
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Mots-clés: 
| Sifflantes (sibilances) |
En hi-fi il s'agit de caractériser un défaut présentant une exagération des notes aigües et tout particulièrement dans le chant des lettres S.
Cette mauvaise reproduction des S dans la parole est très évidente dans nombre d'émissions radio FM (saturation du fait de la surmodulation).
Sur une chaine hi-fi, en lecture de CD audio, la chose est fréquente et on l'attribue la plupart du temps à tort à la prise de son, alors que c'est la chaine hi-fi qui est en cause et en particulier du fait de son absence d'euphonisation.
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| Silence |
Le silence parfait théorique correspond à 0 dB SPL, qui définit le seuil audible. A ce niveau limite, le tympan se déplace d'une distance d'environ 1 / 10 du diamètre d'un atome d'hydrogène. La sensibilité de l'oreille est vraiment stupéfiante. L'écoute binaurale et ensuite l'intégration et l'interprétation du message par le cerveau en font un outil d'analyse qui dépasse de loin tous les instruments de mesure électroniques (*) .
En deça de 0 dB, la limite d'audition est aussi constituée par le bruit de fond émis par l'homme, sa respiration, sa circulation sanguine, ses battements de coeur et même son influx nerveux. Dans la nature le silence parfait n'existe pas et un lieu très silencieux atteindra vite 10dB(A) en haute montagne ou 20 dB(A) en rase campagne. Un appartement sera considéré très silencieux si le bruit ambiant se situe vers 40dB. En pratique cela signifie que l'écoute d'un excellent enregistrement (LP vinyle, CD, SACD, DVD-audio, DVD-AD ou SARD) offrant une "dynamique vraie" de 55 à 65dB (rare!) y sera écouté dans de bonnes conditions.
NB. Les 90 db ou 120dB de dynamique théorique des CD et SACD sont en réalité inutilisables et inutilisées dans les faits! Quasi tous les enregistrements musicaux font l'objet d'une compression de dynamique.
Un trombone écouté en direct peut atteindre 120 dB SPL et un grand orchestre classique 130 dB. Avec un salon à 40 dB de bruit ambiant cela conduirait à 160 et 170 dB de niveau acoustique! Sachant que le seuil de la douleur est à 135 dB, vous seriez sourd bien avant, si ce n'est mort et enterré sous vos murs et votre plafond qui se seront probablement effondrés! Capacite dynamique des instruments de musique
Savez-vous que
l'OMS recommande au public des discothèques et des concerts ne pas rester exposé à des niveaux sonores moyens supérieurs à 100 décibels pendant plus de quatre heures, plus de quatre fois par an. [suite sur sante.gouv.fr]
Le silence, enfin, est le support sur lequel la musique s'inscrit. Ils sont donc indissociables l'un de l'autre et le silence à défaut d'avoir un son, possède pourtant sa personnalité. Sur de bons enregistrements et sur une bonne chaine hi-fi, l'extinction des notes doit laisser place à des silences qui appartiennent encore à la musique. Le silence ne doit pas être mort mais habité. On ne l'entend pas mais sa présence est perçue de façon subliminale et contribue énormément à la crédibilité de la reproduction musicale. On (je) parle alors de profondeur du silence, de noirceur transparente, un peu comme un ciel étoilé en haute montagne, dont le noir intense peut révéler une sensation d'insondable profondeur. L'absence de son n'est pas le rien, le néant, comme c'est le parfois cas du son numérique lu sur de mauvais lecteurs CD. Le cerveau n'a aucun exemple d'un tel vide de tout bruit dans la nature, et c'est donc normal qu'il ne l'intègre pas comme un silence naturel. C'était d'ailleurs dès l'origine ce qui fut reproché (entre autres griefs) aux premières générations de CD par rapport au vinyle analogique, ce silence anti-naturel d'où toute vie est absente. Les dernières générations de lecteurs CD se sont bien améliorées depuis sur cet aspect, quasi résolu avec le lecteur Phi audiophile... et le problème ne se pose même plus du tout avec le SARD++
(*)
Le meilleur micro du monde aux dires de son fabricant, DPA, le modèle 4041-Sa accepte au maximum un niveau de 144dB en crête, soit plus que l'oreille 0dB - 135db (plus fort elle souffre). Meilleur que l'oreille pensez-vous? Non ! car la "dynamique range" (utile) utile de ce micro est donnée pour 118dB et son rapport signal/bruit à 94 dB de niveau sonore est de 86 dBA. En outre par nature un micro est une machine très bête qui mesure à un seul endroit et sans penser, l'audition est toute autre.
D'abord il y a deux oreilles qui marchent ensemble, dotées chacune d'un pavillon complexe, et le résultat est ensuite interprété par le cerveau riche d'une base de donnée constituée depuis la naissance de l' expérience auditive (et musicale) vécue (sans oublier la génétique, le cerveau reptilien, le son foetal etc.). Le son qui arrive à l'oreille est réfléchi par le pavillon de l'oreille et s'enrichit d'informations géographiques supplémentaires. En outre le cerveau interprète, analyse (**) et y ajoute les signaux vibratoires reçus par le corps, le tronc, les jambes les pieds... il corrèle tout cela par la vue, qui se transforme alors si besoin est en loupe auditive, sélective de 30 à 40 db ou plus (cliquez) en filtrant le son utile dans un brouhaha d'autres bruits, localisant la source de quelques degrés d'angle, estimant la distance, identifant la nature du son (un danger potentiel?) , et cela en une fraction de seconde... Oh Oui, quel outil que l'oreille plus la psychoacoustique (**).
Et le zéro dB seuil qui définit le seuil d'audition humaine, n'est qu'une convention, car le cerveau filtre en dessous de ce niveau le bruits corporels (circulation du sang, cœur, respiration, glouglous, influx nerveux) ce qui ne signifie pas qu'il ne perçoit pas les autres bruits en dessous de ces bruits mentalement occultés (occultés mais révélés à un niveau stupéfiant si on le place en chambre sourde).
Le meilleur et ultime outil de mesure du rendu sonore d'une chaine hi-fi reste l'oreille humaine. Et c'est en outre un outil unique, à la fois semblable et différent, car tout comme il n'y a pas deux hommes pareils, aucune audition n'est exactement la même. Ce que vous entendez, vous êtes le seul à l'entendre comme ça!
http://cours.musique... Psychoacoustique
http://audioprana.free.fr
http://www.dpa.audio2.fr
(**)  Vidéo ENS Lyon, conférence de Nicolas Grimault du CNRS « De l'acoustique à la perception : la psychoacoustique » (durée : 51 min).
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| Son direct |
Son émis par une source et parvenant aux oreilles de l'auditeur directement sans avoir été réfléchi par un obstacle quelconque. Par opposition au son réfléchi qui peut avoir un parcours rallongé par une série de "rebonds" à l'image d'une boule de billard faisant plusieurs bandes avant d'atteindre sa cible. Par définition le son direct arrive toujours le premier puisqu'il fait le plus court chemin. A son arrivée à l'oreille cependant il peut être plus ou moins perturbé par les retardataires qui viennent se bousculer et jouer des coudes pour entrer par la même porte. C'est la réverbération quand le décalage temporel est court, c'est l'écho quand ce décalage est plus long et dépasse le temps de confusion des sons de l'oreille. |
Spectre audible
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Le spectre audible par l'homme s'étend de 20Hz (son très grave) à 20000Hz (son très aigu), mais cela dépend des personnes et de leur âge.
(très variable selon les individus)
Quand on monte dans l'escalier des fréquences, il existe une "hauteur minimale des marches" pour qu'on fasse la différence. C'est le seuil différentiel relatif de perception des hauteurs : Pour deux fréquences N1 et N2 (avec N2>N1) ce seuil s'exprime par le rapport : (N2-N1) /N1. Ce seuil décroît jusqu'à 500 Hz , puis reste constant jusqu'à 4000 Hz puis croît au-delà. En se basant sur ce seuil différentiel on trouve un peu plus de 1500 sensations de hauteur différentes entre 20 et 20000 Hz.
La voix humaine et les instruments de musique se partagent tout le spectre audible, voir même au delà:
La gamme tempérée sur les 10 octaves du spectre de fréquences audibles ne compte environ que 100 notes. 100 pour 1500 hauteurs discernables selon l'expérimentation! On comprend tout l'intérêt de s'ouvrir aussi aux autres formes de musiques, de cultures, de traditions, dont celles qui n'utilisent pas la gamme tempérée, voire aucun système de notation.
independentrecording.net (avec un fort astucieux tableau interactif!)
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| Spatialisation |
Ensemble des objets sonores perçus dans dans un espace donné.
La perception de l'espace:
1) L’espace est l’environnement dans lequel nous écoutons (de la musique
électroacoustique) et dans lequel nous situons des « objets ».
2) L’environnement habille la totalité de l’espace, ou du moins une portion
importante, qu’il est difficile de délimiter. L’environnement peut englober
l’auditeur (bain sonore, style home-cinéma 5.1) ou lui être extérieur (plan, paysage, "regardé" par l’auditeur comme au travers d'une fenêtre plus ou moins large)
3) Les « objets d’espace » occupent une portion finie de l’espace.
Un objet possède :
- une étendue, des dimensions (volume, taille, longueur, largeur, hauteur, profondeur)
L’étendue d’un objet peut-être idéalisée : point, ligne, surface, volume.
- une localisation
- une orientation (verticalité, horizontalité, frontalité, latéralité)
4) La distance est l’intervalle qui sépare deux « objets ».
5) Lorsqu’un « objet » subit l’influence du temps, il devient événement
d’espace.
Le mouvement est un changement de position d’un « objet » dans l’espace. Cet événement dure un certain temps. Il y a plusieurs types de mouvements :
(a) le mouvement interne d’un objet ;
(b) la déformation d’un objet ;
(c) le déplacement ou changement de lieu.
La nature du mouvement peut être précisée par diverses caractéristiques :
- mouvements rapides, lents, accélérés, ralentis
- mouvements discrets, continus, trajectoires sans accidents ≠ fragmenté, mouvements
- mouvements prévisibles ou évidents ≠ mouvements imprévisibles,
- liés aux matériaux
- mouvements dynamiques
- toujours en mouvement
S’il est cohérent et prévisible, le mouvement peut être idéalisé :
ligne, pan, rotation, zig-zag, expansion, contraction…
6) La polyphonie d’espace ou superposition d’espaces :« Objets », « événements » et environnement(s) se combinent entre eux, mais sans fusionner.
La profondeur de champ permet de décrire l’étagement de plusieurs objets ou événements
source: http://tc2.free.fr/espace... Expose.pdf
Lire http://geteme.free.fr/
L'écoute sur enceintes acoutiques et l'écoute au casque offrent deux spatialisations différentes.
Dans la salle d'écoute, la scène sonore se déploie entre les deux enceintes ( parfois même en déborde de part et d'autre) et s'emploie à restituer avec le plus de vérité possible le jeu des musiciens, à leurs places respectives tant en largeur qu'en profondeur avec un étagement correct des plans sonores (voir ce mot), des pupitres (on parle alors de relief). Le casque classique créé une image intra cranienne entre les deux oreilles, avec une latéralisation souvent accrue. Acuité et localisations, selon les prises de sons peuvent être donc sensiblement accrues en écoute au casque de par la proximité de la membrane émettrice, et par une transmission non perturbée par l'acoustique de la pièce. Cependant cette écoute demande une adaptation mentale qui rebute parfois au point que certains ne peuvent s'y faire. Les casques dits "ouverts" aérent un peu la scène sonore en faisant parvenir par l'extérieur un peu du son de l'autre oreille, sans pour autant supprimer la sensation de "son dans la tête".
Personnellement en bidouillant mon casque Stax Lambda, (électrostatique ouvert, à membranes de très grande surface (*) j'ai pu le transformer en "enceintes d'oreilles", et l'image se forme devant ma tête et non plus dedans, sans toutefois bénéficier d'un élément d'écoute et de plaisir important, celui de l'impact physique sur le corps, autre dimension essentielle de la musique.
(*) Stax Lambda tout premier modèle, encore à transfos adaptateurs, et à mon goût bien plus musical (certes un peu chaud dans le bas médium) que ses successeurs à amplis transistorisés, plus froids et "cliniques".
La spatialisation dépend au départ de la qualité de la prise de son. Pour respecter l'homothétie (**) de la prise d'une son stéréo à 2 micros , les enceintes acoustiques devraient être écartées de la même distance qui sépare les micros. Ce qui revient à dire qu'une prise de son effectuée avec un couple ORTF (cliquez) ou une tête artifcielle (cliquez) ne peut être écoutée qu'au casque pour bénéficier de toutes sa qualité. Aucun enregistrement ne précise ce genre d'information, et c'est bien dommage. En outre depuis longtemps les prises de son sont faites avec de nombreux micros de renfort, au grand dam de la cohésion et de l'image sonore virtuelle qui perd souvent toute crédibilité.
De très belles (les plus belles ?) prises de son furent effectuées dès 1955 aux débuts de la stéréophonie par Decca avec un couple de micros stéréo plus un micro d'ambiance, le tout monté sur un support en T, le "DECCA TREE" (cliquez)
(**) Une homothétie est une transformation géométrique, c'est-à-dire une règle qui associe à chaque point d’un espace un point de ce même espace. Elle traduit la correspondance entre deux figures de même forme et de même orientation. |
| Stabilité |
Une image sonore se doit d'être stable, bien sûr si les artistes ne bougent pas sur scène. On comprend bien qu'il est rare d'avoir un piano ou une contrebasse qui selon les notes se promène à droite ou à gauche.
Un opéra enregistré en live peut par contre avoir des chanteurs qui se déplacent, mais pas l'orchestre.
Souvent on attribue à tort à la prise de son un déplacement ponctuel inopiné de la source sonore.
Je prendrai comme exemple la magnifique interprétation par Marc Coppey du chef d'oeuvre de Henri Dutilleux "Tout un monde lointain" (voir compilation de CD en ligne) . Lors de sa critique en Mai 2008, le magazine Diapason avait attribué son Diapason d'or à ce disque tout en ne lui donnant qu'une note 7/10 en indiquant "Très bonne transparence mais soliste manquant un peu d'homogénéïté avec l'orchestre et de stabilité de localisation". Or avec tout le respect que j'ai pour cette revue de haute tenue musicale et pour son système audio de référence, je suis obligé de constaté que leur système hi-fi est peu ou pas euphonisé vis à vis du courant secteur, de la terre et des champs électromagnétiques ambiants. La stabilité du violoncelle est en effet parfaite sur mon système hi-fi, l'intégration avec l'orchestre le place juste un peu en avant comme il se doit, et je ne constate aucun incohérence caisse/corde lors des pizzicatis. Bref, ma note technique à moi serait plutôt 8,5 ou 9/10. Par contre si je désactive une ou deux de mes contremesures d'euphonisation, alors oui, le violoncelle a tendance à se ballader vers la droite, par moments, selon les notes jouées. La prise de son n'est en aucun cas fautive! |
| Staccato |
En solfège,
désigne un type de phrasé dans lequel les notes des motifs et des phrases musicales doivent être exécutées avec des suspensions entre elles (l'inverse est le Legato - voir ce mot) .
En hi-fi, c'est la façon de jouer en séparant bien les notes les unes des autres. La qualité de son rendu
permet d'apprécier le mordant des attaques, l'absence de traînage, tout en respectant les timbres. |
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Extraits du
guide de l'euphonie
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SARD = Super Audio Ram Disk (par analogie avec le Super Audio Compact Disque)
Un RAM-disque est un disque virtuel qui utilise une partie de la mémoire centrale de l'ordinateur, la mémoire vive, en tant que mémoire de masse, une fonction habituellement effectuée par les disques durs. Les temps d'accès sont grandement améliorés, car la mémoire vive a un temps d'accès approximativement 1000 fois plus court que les disques durs. Ils sont cependant limités par la taille de la mémoire centrale. Pour chaque session musicale, le fichiers audio y sont placés pour y être lus.
[suite...]
What's SARD ?
Super Audio Ram Disk is an audiophile Hi-Fi treatment that can be done on any simple 16 bits, 44.1 kHz, wav file ripped from any good Compact Disc Audio or hybrid SACD... [more...]
Le SARD en bref:
1) Ripp CDaudio => Disque dur 16b/44.1kHz
2) Conversion 32bits/44.1kHz
3) Réduction en 16b/44.1kHz avec ajout de dither triangulaire 0.7 bit
4) Montage du fichier audio obtenu en Ramdisk NTFS formaté en 64 Ko
5) Lecture par player 32bits , rééchantillonnage 176.4kHz
NB. Ces opérations sont automatisables en traitement par lot ( batch processing )
L'ultime qualité audio
SARD+ et SARD++
Même configuration que ci-dessus pour le SARD, mais avec un Ramdisk monté en exFAT (FAT64) et formaté en clusters de 512 Ko (script fourni) |
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