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Archives des billets de l'Audiophile AA anciennement publiés sur l'annuaire apiguide.net, aujourd'hui disparu. (de ce fait les liens externes sont donc en grande partie non actifs) |
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Les archives de l'Audiophile AA
Hi-Fi pour mélomane audiophile:
La musicalité qui ne se mesure pas
(suite)
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L'Audionizer ISS
en écoute par P.D.
L'Audiophile Apiguide (A.A.) insistait depuis longtemps sur l'intérêt musical de son Ionostat® à traine, un appareil inventé par Pierre Johannet en 2005 et que AA avait réalisé pour son compte à l'époque, puis qu'il avait réussi à optimiser en 2007 [voir Coin audiophile]. En 2012, il avait réussi à en faire une version nettement plus petite, bien plus efficace et encore moins coûteuse en fournitures, version qu'il avait appelée Audionizer module ISS.
A.A. avait depuis longtemps remarqué le bénéfice musical qu'il y avait à coupler deux appareils qui semblent agir sur le même phénomène électromagnétique aérien mais par deux moyens très différents et complémentaires... le Ionostat (ou mieux, le module ISS) d'une part et l'Audionizer VIP de l'autre. Devant tant d'obstination de A.A. à vouloir me convaincre, à force , j'ai fini par craquer et j'ai fabriqué mon Audionizer ISS! En respectant scrupuleusement les indications de A.A...
Bingo, ça a marché du premier coup... et bien au delà de mes espérances! |
Le compte-rendu d'écoute de P.D. (Mai 2012) |
Quelques uns des accessoires d'euphonisation d'une chaine Hi-Fi
"L'Euphonie, quelle merveille!" c'était l'objet de mon premier e-mail envoyé à AA, à chaud
Bonjour AA,
Devinez donc quels sont mes choix de réglage après avoir modifié [selon vos indications] les aimants de l'ISS ? Eh oui, tout pareil que vous. Même le ctp [en fait, plaque d'agglo mélaminé] mis sous le pied apporte son lot de bonus. Le Totem Eole a trouvé sa place sur l'ISS et cela ne passe pas inaperçu.
Quand tout naturellement l'oeil cherche et trouve les sources sonores [virtuelles], heureusement le cerveau fait mine de pas le voir! Etrange constatation, je vous l'accorde, pourtant ça marche.
La fugue de Bach à l'orgue ma soufflé, l'orgue a accaparé tous mes sens, une incroyable et magnifique expérience pour un instrument qui en donne beaucoup tant il s'impose. Je n'avais jamais ressenti aussi fortement ma présence dans la scène sonore, ici dans cette église.
Avec l'ISS bien réglé la première chose qui me saute aux oreilles est l'ouverture de la scène. Elle s'étend tout autour de moi, tout en étant à la périphérie de celle-ci.
Je me sens entièrement dans le lieux ou la scène se joue et le fait d'avancer, de me déplacer latéralement est pour le cerveau [un déplacement] naturel. Les artistes restent à leur place, et pourtant je me déplace dans la scène sonore, c'est magique!
Plein d'autres bonus jaillissent comme la dynamique, la hargne, la douceur, les basses à terrasser le plus endurci et l'émotion à n'en plus finir.... bref du Super Grand Son ! |
Quelques jours après, l'enthousisasme n'a pas faibli!
L' audiophile mélomane recherche, du moins c'est l'approche que j'ai, un mariage heureux entre un système de reproduction sonore qui soit le plus neutre et transparent possible, et une salle d'écoute qui serait dans l'idéal dotée de facultés de mimétisme tel un caméléon.
Une pièce où chaque concert est unique par son acoustique, son ambiance où bien ses moments forts. C'est dur d'y arriver j'en conviens, mais c'est tout-à-fait faisable par bon nombres de systèmes hi-fi même modestes, à condition d'euphoniser .
J'ai trouvé avec l'ISS [l'Audionizer AA module ISS] une façon d'écouter la musique qui va encore plus loin, au point qu'il m'arrive de me sentir entièrement dans les lieux. Se sentir dans le lieux de la scène sonore, le fait d'avancer, de se déplacer latéralement et pour le cerveau un mouvement naturel. Les artistes restent à leur place pourtant j'ai la sensation de me déplacer dans la scène sonore. L' écoute de la musique s'en trouve fortement enrichie. Déjà rien que par le fait que le simple désir d'écouter tel musicien plus attentivement devient aisé. Se rapprocher un peu pour entendre au plus près une cantatrice est devenu tout aussi simple. J'écoute la musique au gré de mes humeurs. Réécouter X fois la même symphonie et le plaisir ne tarit jamais.
Les oeuvres que les artistes interprètent sont bien plus captivantes. J'ai le sentiment d'entrevoir les intentions du compositeur. Les discours d'un Beethoven ou d'un Prokofiev sont différents, c'est une évidence, certes , mais je commence à ressentir leur humanité un peu comme si je les connaissais personnellement. Peut-être est-ce aussi le fait que je commence à affiner mon oreille, peu importe, cela est agréable de ressentir aussi intensément les traits de caractères de tels génies.
Glenn Gould - Prokofiev - Piano Sonata par Quarouble
Que des bonus
Pour les artistes qui nous font la joie de faire vivre les partitions, la palette est riche en éloges.
La vie et la présence quasi physique revient souvent dans mes compte-rendus. L'Audioniser désormais enfonce le clou.
Le registre grave interagit avec toutes les autres fréquences mais aussi et surtout intervient dans l'acoustique de la salle. Cela donne des musiciens et une scène déconcertants de naturel.
La puissance des tutti peut être dévastatrice, ... si le chef d'orchestre le décide, bien sûr. Les poils se dressent sur le corps, mais l'émotion peut aussi se manifester par des signaux infiniment plus faibles, subtils.
Par exemple la reprise de respiration d'une cantatrice... le temps s'arrête un instant... avant la reprise du récital qui vous met dans tous vos états !
De la vraie musique vivante à domicile
Quel pied ! Il n'est pas facile d'expliquer le constat d'une écoute musicale faite chez moi, et je veux bien admettre qu'il est difficile de me croire sur parole. Pourtant toute ses bidouilles [voir le lexique de AA] plus moche les unes que les autres sont d'une efficacité redoutable pour réanimer la musique et l'inviter chez vous avec comme bagage les musiciens, la salle, le public. Et le plus grand pied avec l'Audionizer ISS, c'est que vous participez à cela en tant que membre du public.
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NB. Dans un précédent compte-rendu P.D. avait donné ses impressions sur les effets musicaux du Minorg Tapa Nimbus - voir témoignage 1 et de l'Audionizer module VIP - voir témoignage 7 -
Invisibles sur la photo ci-dessus mais bien présent dans un coin de la pièce il y a l'Audionizer VIP,
Masqué sur la photo d'en haut par le Sarcoquartz Raoni, on ne voit pas non plus le Minorg Tapa Nimbus avec son Shungicube, les voici donc de profil lors des premiers essais de l'Audionizer ISS par PD.
Ici l'Audionizer ISS en cours de tests :
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Les bidouilles de l'Audiophile Apiguide
Pratiquement les inventions de l'Audiophile Apiguide (AA) sont toutes non mesurables à ce jour par des instruments. Peut-être à l'avenir trouvera-t-on le moyen de les mettre en évidence, de les quantifier autrement que par l'écoute. Mais pour l'heure l'effet bénéfique sur le rendu sonore en Hi-Fi stéréo est parfaitement audible, et c'est bien cela qui compte et non de faire réagir une aiguille sur un appareil. Les inventions de AA ne sont pas commercialisées, elles sont facilement réalisables par tout bon bricoleur en DIY (
Do It Yourself
). Il suffit de télécharger les fichiers perso de l'Audiophile Apiguide et de suivre au plus près les explications et de s'aider avec les nombreuses photos.
Les DIVA, les barres Toltek, le Brodule, les Brodulettes, les Minorg (PM, GM), bidouilles dont le mode d'action est probablement physique sur la propagation aérienne des ondes acoustiques, alliant brassage, diffusion et absorption thermique, sur des principes autres que ceux de l'acoustique traditionnelle.
Le Ionostat® modifié AA (2007), le Totem Eole (PM, GM, Giant), le Raoni, l'Ambiophoniseur TBF, le Monolithe, l'Aquaquartz (PM, GM), l'Aquaquartz phono LED, le Minorg Tapa Nimbus... bidouilles dont le mode d'action est (peut-être, fort probablement) moléculaire, à la fois aérien et par le sol
Le Cobra, la Salamandre, le Caducée, le COT, le filtre entête PH, le filtre LED, le filtre FSA, le Pharos, le Sarcoquartz de tableau répartiteur, la superterre magnétique, la superterre à sonde déporté, la Panterre rose, le répéteur à Led bleue... bidouilles dont le mode d'action est lié au courant secteur et qui reste pourtant peu ou pas mesurable... mais immédiatement perçu par tout mélomane.
... voir lexique |
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Les fichiers de
l'Audiophile Apiguide
plus de 5000 photos, images ou schémas
plus de 900 pages html
plus des applications, des feuilles de calcul .xls, des vidéos...
Un somme de 40 années de recherches de la musicalité en matière de reproduction sonore
et des mises à jour téléchargeables
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Extraits du
guide de l'euphonie
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SARD = Super Audio Ram Disk (par analogie avec le Super Audio Compact Disque)
Un RAM-disque est un disque virtuel qui utilise une partie de la mémoire centrale de l'ordinateur, la mémoire vive, en tant que mémoire de masse, une fonction habituellement effectuée par les disques durs. Les temps d'accès sont grandement améliorés, car la mémoire vive a un temps d'accès approximativement 1000 fois plus court que les disques durs. Ils sont cependant limités par la taille de la mémoire centrale. Pour chaque session musicale, le fichiers audio y sont placés pour y être lus.
[suite...]
What's SARD ?
Super Audio Ram Disk is an audiophile Hi-Fi treatment that can be done on any simple 16 bits, 44.1 kHz, wav file ripped from any good Compact Disc Audio or hybrid SACD... [more...]
Le SARD en bref:
1) Ripp CDaudio => Disque dur 16b/44.1kHz
2) Conversion 32bits/44.1kHz
3) Réduction en 16b/44.1kHz avec ajout de dither triangulaire 0.7 bit
4) Montage du fichier audio obtenu en Ramdisk NTFS formaté en 64 Ko
5) Lecture par player 32bits , rééchantillonnage 176.4kHz
NB. Ces opérations sont automatisables en traitement par lot ( batch processing )
L'ultime qualité audio
SARD+ et SARD++
Même configuration que ci-dessus pour le SARD, mais avec un Ramdisk monté en exFAT (FAT64) et formaté en clusters de 512 Ko (script fourni) |
Le rappel des priorités
aux mélomanes audiophiles
Dans tout système audio Hi-Fi il convient de particulièrment soigner d'abord la source. Or la source la plus en amont, à l'origine même du son, c'est le courant secteur, phase neutre et terre.
Ensuite vient la source musicale elle-même, et il ne s'agit pas du CD audio ou du SACD. Non il s'agit du phonogramme lui-même, lui aussi situé en amont du CD ou du SACD, récupéré de son support matériel.
Ce phonogramme sera donc extrait(*), traité et lu dans les conditions les meilleures, débarrassées de toute contingence matérielle mécanique et optique, Laser compris.
Tout à l'autre bout de la chaine hi-fi, ce qui est tout aussi primordial est ce qu'il advient du son émis par les enceintes acoustiques, juste sorti des haut-parleurs.
Avant d'arriver aux oreilles de l'auditeur, le son subit l'influence, énorme, de l'acoustique de la pièce, et moins connue, plus subtile mais tout aussi pernicieuse, l'influence du milieu aérien, par voie moléculaire et électromagnétique.
Seule l'euphonisation permet d'harmoniser tout ceci, de A à Z , pour que la musique redevienne vivante.
(*) Procéder à l'extraction audio numérique (DAE en anglais, digital audio extraction) du phonogramme n'est pas aussi aisé et aussi bit-perfect que les gens croient. Le rippeur Phi² audiophile slim et sa technique d'euphonisation montrent bien que les méthodes de rippage avec comparaison de type "Accurate rip" sont loin d'extraire vraiment la totalité du discours musical, la totalité du phonogramme master. Ce n'est pas parce qu'on a fait la même chose que d'autres que pour autant on a la perfection.
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