Archives des billets de l'Audiophile AA anciennement publiés sur l'annuaire apiguide.net, aujourd'hui disparu. (de ce fait les liens externes sont donc en grande partie non actifs)
Les archives de l'Audiophile AA GLOSSAIRE HI-FI
Vocabulaire hi-fi audio Le sens des mots dans les tests d'écoute critique en stéréo
Petit guide des principaux mots-clés de l'audiophile apiguide
Dico Hi-Fi Glossaire
Mis
à jour le
Notation des critères
Les aspects du rendu sonore auxquels j'attache le plus d'importance sur ma chaine Hi-Fi, sont signalés par des diapasons:
les plus difficiles à réussir pleinement, mais aussi les plus indispensables... à ne surtout pas rater, quitte à y passer du temps.
un peu plus faciles à maîtriser.
faciles, mais à ne pas négliger pour autant.
Enfin ce n'est pas parce qu'un critère n'a aucun diapason qu'il serait pour autant insignifiant, tout s'entend sur un bon système. C'est seulement quand aucun point n'est faible que l'on peut espérer profiter d'un grand système, d'une musicalité exceptionnelle.
Mots-clés:
Euphonie, euphonisation
L'esthétique d’euphonie est définie par la recherche d’un chemin d’accès vers le contenu musical reproduit de la manière la plus transparente possible, et donc débarrassé du maximum d’agressions directes (on dit aussi tensions ou distorsions) envers les oreilles de l’auditeur et du maximum d’ambiguïtés au niveau de l’objet sonore recréé, de sa localisation, de sa représentation virtuelle dans l'espace. Sont des agressions toutes les composantes étrangères à l’intention esthétique de départ du compositeur ou du chef d'orchestre ou des interprètes.
Il s'agit donc pour l'euphonisation de détecter les incongruités et les corriger de manière efficace.
Pour cela l'audiophile dispose d'un chemin balisé, d'un côté par des signaux d'alerte, de l'autre par des signaux positifs et il dispose aussi d'une boussole, qui lui indique toujours la bonne direction: cette boussole, ce sont les écoutes en concert, de musique en directe (instrumentale, vocale) qui constituent autant de références auditives saines.
Constituent, par exemple, des signaux d'alertes
* un son fortement résonant, trainant
* les résonances et boursouflements dans les basses fréquences (effet boom-boum ou son de tonneau)
* la localisation imprécise ou instable d’une source sonore virtuelle
* la confusion des plans sonores
* les fréquences aiguës émises de façon éraillée, métalliques ou agressives etc.
Constituent, par contre, des "bons points":
* une image stéréo très large, avec une sensation d’espace extérieur, de situation légèrement en hauteur
* un son non coloré et dynamique avec des transitoires bien perçues
* Des extrêmes aiguës avec un flux d’émission souple et régulier
* des voix humaines identifiables, clairement perçues, naturelles etc.
Cette démarche n'est pas l'apanage du seul audiophile chez lui, elle est commune (ou devrait l'être) à tous les acteurs de la chaine de fabrication audio, acteurs soucieux de qualité, depuis la prise de son en passant par le mixage et la masterisation, le pressage...
Lire: Mastering, balises
L'euphonisation d'une chaine Hi-Fi est très similaire à la consonance en musique. En harmonie tonale, quel que soit le système de justesse choisi, la dissonance est considérée comme une perturbation - alors appelée tension - que la consonance (ce que j'appelle euphonie en Hi-Fi) va éliminer en apportant la détente. Toute l'harmonie classique, depuis la Renaissance jusqu'à nos jours, repose sur ce principe de « tension-détente ». Que la Hi-Fi repose sur le même principe pour être plus musicale n'a donc rien d'étonnant.
L'euphonisation du système, c'est aussi faire en sorte que le tout sonne mieux que la simple addition des éléments... L'euphonie, c'est l'harmonie de sons agréablement combinés, par opposition à la Cacophonie qui est un mélange désagréable, confus, voire assourdissant de sons dissonants. (cliquez ici)
Euphoniser un composant ou un élément d'une chaine Hi-Fi, c'est le placer dans des conditions de fonctionnement où il donnera le meilleur rendu musical, au plus près du son d'origine, ni plus ni moins. Dans les maillons de la chaine il convient d'inclure câbles, mobilier, sol, murs, plafond, courant secteur, air, terre, contexte électromagnétique
L'euphonisation d'une chaine Hi-Fi entière c'est optimiser la relation entre eux des différents maillons déjà individuellement optimisés. Elle se fait donc en plusieurs étapes.
Pour illustrer cela, voici les courbes subectives de 4 bidouilles audiophiles prises séparément.
L'euphonisation du système audio va se traduire par une nouvelle courbe qui fusionne les 4 courbes et qui apparait nettement plus performante. L'amélioration sonore sera sensible. On passe du simplement perceptible à l'évidence la plus flagrante. Le gain musical saute alors aux oreilles et très vite on ne peut plus s'en passer.
L'euphonie s'apprécie seulement à l'oreille, au même titre qu'aucun instrument n'est capable de mesurer la beauté d'une toile de maître ou la qualité gustative d'un grand vin ou les fragances subtiles d'un parfum de luxe. Ici il n'est question que d'inflexions mélodiques, de nuances, de phrasé ou du sens à trouver, à ressentir, derrière chaque note... on ne parle pas de son ou de Hi-Fi, on est bien au delà.
L'euphonie reste une démarche personnelle. Elle ne peut être conduite que par le ou les utilisateurs de la chaine, à domicile.
Les étapes, dans l'ordre:
en premier la source, le lecteur CD, SACD ou DVD. Cet élément est primordial et on peut lui consacrer 50% de ses efforts (s'inspirer du lecteur Phi audiophile). Si la source est le SARD++ lu par carte son EMU 0202 USB, alors c'est d'une simplicité enfantine en suivant les instructions du CD, du coup cela prendra beaucoup moins de temps. Le couple ampli/HP prendra les 50 autres % du temps consacré à l'euphonisation. Le couple est en réalité un quatuor, et indissociable: cordons de modulation/ampli/câbles HP/enceintes qui devra être euphonisé.
Fin de la phase individuelle par appareil, commence alors l'euphonisation globale, des éléments déjà traités, mais cette fois avec la salle d'écoute, le contexte électromagnétique local, le courant secteur, la terre, l'air... (voir fichiers du CDRom)
L'euphonisation est universelle, c'est la même démarche qui profite à tous les genres musicaux: rythm'n'blues, jazz, classique, opéra, pop rock, variétés, world... il est cependant préférable d'euphoniser avec des écoute tests faites sur les musiques les plus riches en instruments acoustiques naturels, les plus élaborées en complexité et en subtilités comme le classique... car qui peut le plus peut le moins. Les gains seront plus évidents à discerner sur du classique, et même si ensuite le classique n'est pas votre musique préférée, le bonus musical obtenu profitera à toutes les autres musiques.
Partie supérieure du registre aigu, qui monte jusqu'aux fréquences les hautes audibles au delà desquelles commencent les ultras-sons.
L'extrême aigu n'est perceptible qu'au oreilles jeunes et la presbyacousie naturelle (cliquez) venant avec l'âge pourrait faire penser que ces fréquences sont peu importantes dans le rendu musical. Erreur! Ce serait croire que le spectre audible peut se découper en tranches indépendantes. Musicalement parlant il n'en est rien, c'est un tout. L'extrême aigu rejaillit sur le médium et à la limite sur le grave même si on ne l'entend pas directement. Son accentuation ou sa disparition change immédiatement l'équilibre tonal global et perturbe aussi la perception géométrique de la scène sonore virtuelle.
Anecdote: Dans ma jeunesse j'étais très gêné par le sifflement à 19kHz des tout premiers tuners UHF qu'on plaçait sur le flanc des grosses TV noir et blanc pour recevoir les nouvelles deuxième et troisième chaines (eh oui, 1964, 3 chaines TV en tout et pour tout!)... mon père et ma mère ne l'entendaient bien sûr pas du tout, pourtant moi j'étais obligé de quitter la pièce. Aujourd'hui je n'entends pratiquement plus les signaux sinusoïdaux purs au delà de 12 ou 13 kHz (selon l'oreille testée) et pourtant si on me les enlève en musique (par filtrage à pente raide), à l'évidence ils me manquent! L'expérience montre même que toucher aux plus hautes fréquences, supérieures à 15 kHz, se perçoit à tout âge. Je perçois donc l'absence de ces fréqnences "médicalement inaudibles" parce qu'elles font partie intégrante de mon univers musical global, sans distinction entre de pseudos zones grave/médium/aigu qui n'existent séparément que par convention sémantique, par besoin de catégoriser tout et n'importe quoi.
Extrême grave
sous grave ou infra grave.
Encore une convention de langage, dont les limites sont floues. Infra grave de 15 à 50 hz, voire 80 Hz(*)
Le bas du spectre sonore s'entend avec les oreilles et plus on descend en fréquences plus il se ressent corporellement au niveau de la poitrine, du ventre, des jambes (impact). La perception par le cerveau de ce registre très grave lui fait reconstituer la réalité sonore d'une vraie salle, avec son acoustique. Tout le rendu sonore se trouve rééquilibré, plus dynamique, plus imposant et majestueux quand il faut, ce qui est rarement possible quand l'extrême grave est absent. Cet aspect a lancé la mode des caissons graves dédiés, autoalimentés. En dessous 100 Hz nous ne percevons plus la provenance du signal, l'oreille humaine ne parvient pas à situer spatialement l'origine du son, cela permet de placer plus facilement un caisson grave dans une pièce. Leur apport est certain mais on peut parfaitement s'en passer si on euphonise son système.
Dans une pièce moyenne, un salon de 25 ou 30m² par exemple, l'extrême grave n'est pas censé pouvoir être reproduit parce que la longueur d'une seule onde sonore dépasse les dimensions de la pièce. Là encore, on oublie que le rendu sonore forme un tout. On oublie aussi la psychoacoustique qui fait que le cerveau reconstitue un son fondamental (voir ce mot) absent à partir de ses harmoniques supérieurs, 2, 3, 4, 5...
Non directionnel, difficile à produire dans une pièce de dimensions moyennes, peu riche en instruments de musique descendant aussi bas, on pourrait croire que la reproduction du sous grave est somme toute secondaire sur un système Hi-Fi. Ce serait une erreur. L'image sonore gagnera en réalisme, les attaques de contrebasses retrouveront une franchise très véridique et une fin de note sans aucun traïnage, tout paraitra plus stable, plus fermement ancré, plus dense, plus riche. Les intentions du compositeur et des musiciens seront ressenties avec bien plus d'évidence et les montées en puissance prendront une autorité que vous ne soupçonnez même pas. C'est tout ce qui fait la différence entre un bon système et un grand système.
(* ) grave de 80 à 200Hz, bas médium de 200 à 1600Hz, haut médium de 1600 à 7000 Hz et aigu de 7000 à 20000 Hz... le partage est très variable selon les auteurs, ici selon Supravox (fabricant de haut-parleurs de haute qualité)
Fermeté
terme utilisé pour caractériser les fréquences basses, le registre grave. On parle de
manque de fermeté des basses quand celles-ci dénotent une dynamique molle, une précision perfectibles ou du traînage, autrement dit une extinction insuffisamment rapide du signal. On parle parfois d'«autorité».
Un grave peut être qualifié à la fois de ferme et de rond sans que cela soit contradictoire, car un grave rond peut aussi manquer de fermeté. La rondeur sera déterminée par le début et le maintien de la note alors que la fermeté incluera en plus l'extinction de la note. Un exemple de coexistence entre fermeté et rondeur peut être pris dans le "son des tubes". Les très bons amplis à lampes (encore plus rares que ceux à transistors! n'en déplaise aux tubistes) peuvent à la fois avoir un grave très ferme, propre, net et avoir un son ressenti comme rond, c'est-à-dire sans aspérités, sans angles vifs, plein et chaud.
Focalisation
En photographie, le point focal est situé sur l'axe optique d'un objectif, là où convergent tous les rayons lumineux. En audio c'est le point d'où semble provenir la source sonore.
Ce point est défini par un axe et une distance virtuelle vis à vis de l'auditeur mais aussi par une épaisseur. Une bonne focalisation correspond à une image virtuelle clairement définie dans l'espace. Un tel point virtuel permet une meilleure fixation visuelle et l'oeil y va chercher naturellement la source du son qu'il y entend.
L'homme est d'abord un être visuel. Quand l'oeil s'est ancré sur le point en question, qu'il y entend la musique s'en échapper, le cerveau a vite fait d'y apposer une image mentale de l'instrument qui joue ou de l'artiste qui chante. La concentration est facilité, l'acuité auditive est accrue et se traduit par exemple comme le fait de mieux entendre les brefs moments de silence entre les impulsions musicales dans le son reproduit. Ne pas confondre focalisation avec la localisation, qui repère la position géographique en azimuth,
c'est-à-dire l'angle horizontal entre la direction d'un objet sonore et une direction de référence, par exemple l'axe centrale de la scène sonore. On peut avoir localisation sans pour autant avoir un son focalisé. Quand focalisation, localisation et matérialisation (voir ce mot) sont à leur mieux et coincident pour un instrument ou pour une voix humaine on obtient la 3D phonie ou l'holophonie (voir ce mot).
Fondamentale (fondamentale reconstituée, sons fantômes)
Son musical qui donne la sensation de base de hauteur, perçu comme le premier terme de la série harmonique émise . Tous les sons musicaux sont un mélange de signaux sinusoïdaux dont les fréquences respectives sont multiples de la fréquence fondamentale, la fréquence la plus basse. La fondamentale définit la note, détermine la hauteur du son, et les harmoniques caractériseront le timbre de l'instrument. Ces fréquences multiples de la fréquence fondamentale sont appelés harmoniques.
Par exemple pour un signal de fréquence fondamentale 440 hertz (le la3 du piano), ses harmoniques sont :
- 880 Hz harmonique 2 - la4
- 1320 Hz harmonique 3 - la5
- 1760 Hz harmonique 4 - la6
- 2200 Hz harmonique 5 - la7
- 2640 Hz harmonique 6 - la8
- 3080 Hz harmonique 7 - la9
On distingue souvent les harmoniques pairs et impairs car en matière de distorsions l'oreille tolère bien mieux les premières que les secondes.
Bizarrement le cerveau reconstitue un son manquant, surtout pout les sons graves. Si vous lui faites entendre seulement les harmoniques 2 à 7 ci-dessus, il entendra (faiblement car le son n'est pas grave) la fondamentale à 440Hz alors qu'elle n'est pas émise!
On peut mettre à profit cette étonnante faculté d'entendre un son fantôme.
Lire: Précis de l'audition considérée sous l'angle de ses singularités
Un son très grave de 30 Hz demande 11,43 mètres(*) pour développer en entier une seule sinusoïde, il est donc improduisible et inaudible dans une pièce qui ne ferait que 6m dans sa plus grande longueur. Mais ce son à 30Hz a aussi engendré des harmoniques à 60, 90, 120, 150, 180 Hz qui, eux, seront bien audibles dans une pièce de 6m de long... Le cerveau reconstitue naturellement ce son fondamental absent et on entendra ou plutôt dans ce cas on ressentira le 30Hz théoriquement inexistant. C'est un des mystères de la psychoacoustique.
En optimisant la phase de ces harmoniques graves, on peut par exemple se dispenser de tout caisson grave autoamplifié.
Si l'oreille n'entend pas certains sons graves mais que le cerveau les reconstitue, on peut penser qu'il en est de même pour l'extrême aigu et probablement aussi pour les ultrasons (voir à ce mot). Le cerveau a des capacités surprenantes à décortiquer des informations d'où qu'elles viennent.
L'audition est l'ensemble des mécanismes de captation de l'environnement sonore (oreilles mais aussi la boîte crânienne et l'ensemble du corps pour certaines bandes de fréquences) qui permet au cerveau d'en faire une synthèse et son interprétation. L'oreille et l'oeil sont seulement des capteurs, c'est le cerveau qui fait ensuite le boulot (**), selon les schémas que la nature lui a donné au fil de l'évolution ou qu'il est capable d'acquérir par apprentissage. Mais il a ses faiblesses et on peut facilement constater qu'il se trompe parfois, et nous trompe... ces sont les aberrations ou illusions d'optiques ou sonores: exemples d'illusions - cliquez ici -
(*) mesuré dans l'air à 25° - voir dans le dossier outils du CDrom, le fichier "CALCULER ET CONVERTIR"
(**) On peut ainsi "voir" avec la langue grâce à un appareil: le Brainport (cliquez)
On peut aussi "voir" avec ses oreilles et avec son visage:
L'echolocation est la compétence que développe un enfant aveugle, elle permet de repérer un obstacle avant de se cogner.
Certains enfants développent cette compétence naturellement.
Si vous fermez vos yeux et marchez vers un mur, quand vous vous en approchez, vous pouvez ressentir une certaine pression sur votre visage, vous indiquant que vous êtes prêt du mur. On l'a appelé « le sixième sens » des aveugles. En fait, les recherches récentes ont démontré qu'il s'agit d'un sens lié à l'audition... [suite]
SARD = Super Audio Ram Disk (par analogie avec le Super Audio Compact Disque)
Un RAM-disque est un disque virtuel qui utilise une partie de la mémoire centrale de l'ordinateur, la mémoire vive, en tant que mémoire de masse, une fonction habituellement effectuée par les disques durs. Les temps d'accès sont grandement améliorés, car la mémoire vive a un temps d'accès approximativement 1000 fois plus court que les disques durs. Ils sont cependant limités par la taille de la mémoire centrale. Pour chaque session musicale, le fichiers audio y sont placés pour y être lus. [suite...]
What's SARD ?
Super Audio Ram Disk is an audiophile Hi-Fi treatment that can be done on any simple 16 bits, 44.1 kHz, wav file ripped from any good Compact Disc Audio or hybrid SACD... [more...]
Le SARD en bref:
1) Ripp CDaudio => Disque dur 16b/44.1kHz
2) Conversion 32bits/44.1kHz
3) Réduction en 16b/44.1kHz avec ajout de dither triangulaire 0.7 bit
4) Montage du fichier audio obtenu en Ramdisk NTFS formaté en 64 Ko
5) Lecture par player 32bits , rééchantillonnage 176.4kHz
NB. Ces opérations sont automatisables en traitement par lot ( batch processing )
L'ultime qualité audio SARD+ et SARD++
Même configuration que ci-dessus pour le SARD, mais avec un Ramdisk monté en exFAT (FAT64) et formaté en clusters de 512 Ko (script fourni)
Extraction numérique audiophile
BOUTIQUE
SPONSORS
Outils,
services de gravure, espaces sponsorisés de
l'A.F.I.C..
AFIC - Association
France Internet Citoyen - APIGUIDE.NET pour faire d'Internet
un moteur économique et social, générateur d'emploi
et de solidarité !
Les marques, les logos, les noms des sites ou des
outils de recherche cités sur apiguide.net
appartiennent exclusivement à leurs propriétaires
respectifs.
All logos and trademarks in this website are property
of their respective owner..